En contrebas, un escalier mène à une crique à l’eau vert olive (à l’origine du nom de la baie), qui n’est toutefois pas propice à la baignade. Le courant y est fort, la zone est de surcroît extrêmement sujette à l’échouage des détritus polluant la mer, mais aussi des sargasses qui jonchent le rivage, et menacent l’équilibre des organismes sous-marins.
Sur les hauteurs, s’érigent une chapelle et un oratoire, qui accueillent chaque année les fidèles et les pèlerins lors du chemin de croix de la procession pascale, et le jour de l’an, après le traditionnel « ben démaré ». L’histoire raconte que la Vierge Marie aurait fait une apparition sur l’une des falaises du lieu.
Le sentier mis en place par le Conservatoire du littoral, prolonge celui de l’Anse à l’eau, et complète le réseau de la forêt domaniale, en retrait du trait de côte, où s’étendent ; forêts sur sable, forêts sèches et petites zones humides, parmi lesquelles des chemins de randonnées mènent vers la Pointe des châteaux, et également vers l’Anse à l’eau.
Des objectifs de protection de cet espace ont été mis en place par les différents acteurs afin d’en préserver son caractère sauvage, en dépit de l’érosion naturelle et de la pollution auxquelles elle est sujette.